Avant d’accélérer la résolution des litiges, il faut les identifier par nature.
En réalité, la diversité des litiges entraîne une grande variété de la résolution de litiges. Une erreur de facturation sera traitée par la comptabilité. Une erreur de livraison par le transporteur. Et un dysfonctionnement par une intervention d’un technicien.
Pour résoudre un litige, l’entreprise doit donc identifier les procédures, les intervenants et les points de blocage. En effet, il peut y avoir jusqu’à 12 étapes nécessaires pour
résoudre un litige. Le risque de ralentissement voire d’arrêt s’accroit alors considérablement. Une fois donc les process et les intervenants identifiés en interne, il devient alors possible de mettre en place un workflow. Et ainsi digitaliser les actions. Selon une route de résolution orchestrée par la solution de recouvrement de litiges Eloficash de Covline.
Digitaliser pour tracer sa route de résolution des litiges
En effet, la
solution logicielle ELOFICASH permet en fait d’enchainer des actions dans un workflow. Et ensuite d’assigner de manière intuitive à chaque étape les intervenants concernés. Selon les délais et objectifs de qualité définis par l’entreprise. A titre d’exemple, un comptable devra réaliser un avoir en moins de 7 jours…
La solution de recouvrement Eloficash s’avère un levier d’action extrêmement efficace. Via l’envoi de SMS, d’emails interactifs, pour impliquer les protagonistes à agir plus vite et réduire le délai de traitement du litige. A cela s’ajoute des alertes, en cas de retard dans la résolution du litige, en vue de limiter leur impact sur la satisfaction client. Et de réduire ainsi au maximum le recours au recouvrement amiable ou contentieux. Ainsi, la solution ELOFICASH contribue à améliorer la réactivité et la qualité des procédures. Des conditions clés pour résoudre des litiges et les transformer en cash.
Transformer ses litiges en profits financiers.
Loin d’être anodins, les litiges peuvent fortement impacter l’encours client. Et surtout la trésorerie de l’entreprise. Plus vite et mieux, tel pourrait être le credo d’ELOFICASH. La solution accélère le traitement des litiges, en automatisant les process et en impliquant les collaborateurs concernés. Selon des objectifs de résolution et de délais, déterminés par l’entreprise. Avec la solution Eloficash, plus de 80 % des litiges peuvent être résolus dans les délais impartis. Et le
DSO Litige, où nombre de jours de chiffre d’affaires représenté par l’encours litige, peut diminuer de 1 à 3 jours.
Afin d’aller encore plus loin et faire résonner la qualité dans l’ensemble des départements de l’entreprise, ce type de projet, résolument transversal, doit être porté par la Direction Générale. Mais également orchestré par un Responsable Qualité. Outre les bénéfices reconnus comme l’amélioration continue, l’efficience, la satisfaction client…, la qualité se met alors au service de la performance de l’entrée du cash !
Litige commercial : quels sont les recours ?
Un litige commercial désigne l’ensemble des litiges et préjudices entre commerçants (client, fournisseur, distributeur ou encore prestataire extérieur,) impliquant généralement de recourir à une action en justice. Le litige commercial peut ainsi représenter un souci de contrefaçon, un recouvrement de créances ou des impayés, un surendettement ou encore un non-respect des délais de livraison.
En cas de litige avec une autre société commerciale, il est généralement conseillé de tenter un règlement amiable, via l’envoie d’une lettre recommandée avec accusé de réception, ou à l’aide d’un médiateur capable de trouver un moyen de conciliation. En effet, une procédure judiciaire ou une procédure civile pourrait s’avérer être très coûteuse. Si cette procédure n’aboutit pas, vous devrez alors porter l’affaire devant les tribunaux afin d’obtenir réparation pour les dommages et intérêts.
Ainsi, vous devrez saisir le tribunal compétent, soit le
tribunal de commerce pour un
litige commercial (tribunal d’instance ou tribunal de grande instance pour un litige avec un particulier), qui se chargera d’envoyer un huissier de justice pour transmettre les assignations. Consultez votre cabinet d’avocats afin d’obtenir des conseils juridiques d’un avocat spécialisé en droits des sociétés.