6 conseils pour mettre en place une cuture cash performante

La Culture Cash s’installe de plus en plus dans nos entreprises. La raison ? Ce mode de fonctionnement permet d’anticiper les risques de défaillance d’entreprise de plus en plus nombreux en France. Comment ? En impliquant à la fois dirigeant, comptable et autres services de la société (commerciaux, acheteurs, logisticiens…) dans l’optimisation de la trésorerie. En faisant prendre conscience à chacun de l’importance des rentrées d’argent dans les caisses de l’entreprise.

Une vision multiple et collective que toute société doit pouvoir mettre en place aujourd’hui et ce, de manière permanente. Covline et son logiciel de recouvrement client Eloficash vous donnent 6 conseils pour faire entrer la Culture Cash dans votre entreprise.

Introduire le Cash Management au service de la culture cash

La politique de Culture Cash doit être à l’initiative de la Direction Générale. Elle est ensuite déployée par la direction des affaires financières (DAF) dans l’optique d’être intégrée par tous les collaborateurs. 

Pour ce faire, le DAF ou le Cash Manager doit communiquer sur le sujet auprès des différentes équipes.  II s’agira de faire prendre conscience à chacun qu’il est concerné par la gestion des liquidités : achats, stocks, commandes, ressources humaines, investissement… Tout le monde doit savoir qu’il peut agir opérationnellement et participer ainsi à des améliorations qui profiteront à la trésorerie. 

C’est ça la culture cash ! un lien transversal permanent entre direction générale, direction commerciale et direction financière. L’enjeu de ce de Cash Management consiste à susciter la motivation de chacun à s’impliquer dans cette démarche collective d’anticipation des risques et d’optimisation du cash-flow.

Gérer le BFR, indispensable dans la Culture Cash

La gestion des stocks et des encours fournisseurs et clients est fondamentale pour la bonne santé financière d’une entreprise.  Le Besoin en fonds de roulement en est, quant à lui, l’un des indicateurs majeurs.

Le Cash management veillera donc à mettre en place des indicateurs de suivi du BFR. Ces derniers permettront ainsi d’anticiper, de réajuster et d’éviter la défaillance de trésorerie. Tout intervenant de l’entreprise aura évidemment accès à ce suivi et saura en interpréter les indicateurs à son niveau.

Chacun participera donc à son échelle à la sécurisation des financements de l’entreprise. Ils sont en effet indispensables à l’alimentation voire à l’amélioration du besoin en fonds de roulement (BFR).

Bon à savoir : Découvrez comment évaluer la santé financière d’une entreprise.

Etablir un prévisionnel d’activité et de trésorerie

L’ensemble des collaborateurs devrait participer à définir les besoins de financement en évaluant les besoins en ressources opérationnelles ou en investissement. En plus d’anticiper la saisonnalité, le prévisionnel d’activité rendra possible la prise de conscience des conséquences de divers évènements (changements dans l’organisation, développement du chiffre d’affaires, augmentation des coûts, etc.).

De même, un prévisionnel de trésorerie permettra de donner des objectifs aux équipes et de faciliter les discussions avec les partenaires financiers.

La solidité financière ou l’assurance de couvrir ses immobilisations

La bonne santé de l’entreprise et l’équilibre de la trésorerie est donc l’affaire de tous dans la Culture Cash. Elle commence par la maitrise des flux de trésorerie et des éléments inhérents :

  • maitrise de l’encours client :  pour réduire le délai moyen de paiement (DSO), une entreprise doit savoir calculer et maîtriser son encours clients. Le Cash Management visera donc à rendre visible cet encours client pour impliquer les collaborateurs. La digitalisation des factures et l’automatisation des relances facilitera aussi la maitrise des factures non encore réglées.
  • gestion du risque fournisseurs : adopter des processus et solutions de purchase to pay efficaces et partagés par tous permet la fiabilisation des approvisionnements et des relations fournisseurs. En découle parmi les nombreux avantages : une optimisation de la qualité des produits achetés ; une réduction des coûts ; un meilleur contrôle des dépenses ; une plus grande motivation des équipes due à la réduction du nombre de tâches répétitives et manuelles ; etc.
  • Renforcement des résultats de l’entreprise

Le + ELOFICASH : Notre logiciel de recouvrement de factures vous donne les clés pour calculer votre DSO et plus de 50 autres KPI de credit management ! Eloficash vous aide également si votre client est en procédure collective.

Optimiser les liquidités

  • Réduction des dépenses par l’utilisation par exemple d’un process Purchase to pay
  • Investissement dans des innovations efficaces pour réaliser des économies
  • Réalisation d’un échéancier de paiement pour régler les factures le plus tard possible mais avant échéance du délai de paiement.
  • Échelonnement du règlement des créances. Cela évite de faire appel à une procédure de recouvrement de créance impayée contentieuse couteuse et de sécuriser le paiement. Il s’agit aussi de conserver une bonne relation clients.

Dématérialiser les factures pour favoriser l'entrée dans la culture cash

L’un des enjeux majeurs pour réussir votre entrée dans la Culture du Cash est la sensibilisation de tous vos services à son sujet. Un facteur important de motivation proviendra des avantages engendrés par sa mise en place. Parmi ceux-ci, la facturation dématérialisée qui apportera gain de temps grâce à l’automatisation, économies et réinvestissement dans des tâches plus motivantes, plus grande satisfaction du client avec la réduction du risque lié aux erreurs de saisie, impact environnemental amélioré…

Votre logiciel de recouvrement ELOFICASH est un outil de gestion de BFR très performant pour améliorer la trésorerie. Il accompagne les DAF et les entreprises à mettre en œuvre cette « Culture Cash », enjeu majeur de leur équilibre financier présent et à venir.